Dieu est grand - Oui... mais grand comment ? - Comme la connerie humaine ! |
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Un trésor de bienfaits |
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«Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens».
«La meilleure façon est de les tuer.»
«Cette sanctification sera toute centrée sur le saint Sacrifice de la Messe. Là se trouvent le sens et la source de la vie chrétienne qui n'est rien d'autre qu'une vie de sacrifice (1) et de corédemption». |
«
»
Lo bueno de la voluntad divina,
es que suele coincidir con la de los ricos. |
Lettre de Pie XII à Franco, en 1939 : |
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Matthieu 10 |
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La croixFaut-il interdire le port ostensible de ce symbole religieux à l'école ?
Peut-il être considéré comme une arme de destruction massive ?
Les gens couverts de croix me font
irrésistiblement penser à un cimetière.
Mais, savez-vous pourquoi le "signe de croix" ?
Il paraît qu'il s'agit d'évoquer les blessures du "christ" :
la couronne d'épines, le coup de lance au coeur, and so on...
Vous imaginez... s'il avait été empalé !
Quand je vois le Christ en croix... |
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L'avis des humoristes
Dieu si tu existes délivre nous de toutes les religions.
L'homme a créé Dieu, le contraire reste à prouver.
Je ne crois pas en l'au-delà, mais j'emporte
toujours un caleçon de rechange.
Je suis inculte, parce que je n'en pratique aucun.
Il existe encore des gens qui prennent le Messie pour une lanterne.
Bernadette avait eu des apparitions à Lourdes,
c'est pour ça que la pape l'a mise en sainte.
Si Dieu savait ce que je pense de lui, il comprendrait
Dieu... faut y croire pour le voir.
Jésus revient ! Que tout le monde fasse semblant d'être occupé |
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Ce qu'en pensent les écrivains/H3> |
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Dieu est un scandale, un scandale qui rapporte.
La foi soulève des montagnes.
Si la foi soulève des montagnes, ce sont des montagnes de cadavres.
Les trois grandes religions
Les hommes se civilisent dans la mesure non pas de leur
empressement à croire mais de leur disposition à douter.
Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.
C'est ce qu'on a fait.
Croire c'est se suspendre à ce que l'on soutient. |
La morale est le fer de lance des régimes totalitaires.
Fermez le coran et ouvrez la fenêtre.
Quel que soit l'avenir de Dieu,
La foi soulève des montagnes.
Un clergé célibataire, en particulier, voilà une
bonne idée, car elle permet de freiner la
tendance au fanatisme héréditaire.
J'ai regardé de près le dieu de l'étranger,
La religion n'est autre chose que l'ombre portée
de l'univers sur l'intelligence humaine.
Imagination populaire créant un divin de carton-pâte !
Les religions sont les virus de l'esprit |
«Dès que la religion fourre son nez dans les affaires humaines, on peut craindre
le pire.
Les religions, toutes les religions, celles du Livre et les autres. Il n'y en a pas de
meilleures que d'autres, pas de pire. Elles se valent. Ce sont toutes des machines
d'exclusion, d'oppression, de destruction, elles se réclament toutes du ou des
vrais dieux, elles revendiquent toutes des territoires, des frontières, des
privilèges, des vérités, des dogmes, elles sont toutes à enfermer
dans un sac et à noyer dans des vallées de larmes.»
«Dans les églises... on voit trembler la lumière des chandelles sur les porte-cierges.
Y a les bougies à cinq euros qui t'assurent des petits passe-droits gentils du Seigneur,
et puis des à dix euros pour les grands coups de main en catastrophe. Des gens s'offrent
ainsi une aide céleste et, le coeur content, rassurés par la fonte de ce suif dont ils ont
allumé la mèche, ils repartent dans la vie comme le skieur sur les pistes après
un fartage de ses skis.»
Où la misère et la souffrance progressent, la religion renifle avec avidité.
N'est-ce pas là que s'applique le mieux son vieux remède : donner du prix à
la mort et à la douleur en dépréciant la vie au nom de l'esprit qui la
désincarne ?
Le dogme loufoque de la Trinité - Tel ingénieur qui, dans son travail, soumet toutes ses démarches aux exigences et aux principes de la raison, ne se rend même pas compte, quand il assiste à la messe, s'agenouille, avale l'hostie, qu'il est devenu un autre homme, qu'il a déposé sa raison dans le bénitier et adhère à des croyances qui, s'il était lucide, le feraient
pouffer. Certain, dans son bureau, que trois fois un font trois, il jure, à l'église, que trois fois un font un. Et n'en rit pas. Et ne se dit pas "Mais je suis fou !"... |
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La place de la femme
Homme tu es le maître, la femme est ton esclave, c'est Dieu qui l'a voulu. |
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C'est dans le dictionnaire... |
Bon chrétien : Espèce de poire. |
L'alliance du sabre et du goupillon...est toujours bien vivante un peu partout dans le monde !
Le clergé préconise la torture
Le Révérand père Delarue, aumonier de la 10ème division parachutiste, au général Massu, qui organisa la torture en Algérie.
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Sagesse et pensées... |
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Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière
et du moine de tous les côtés.
Là où on parle de Dieu,
le diable n'est jamais bien loin.
Laisse Dieu en paix, il te le rendra. |
C'est fou le mal qu'on peut faire,
simplement avec sa bible et son couteau.
Pauvres chrétiens on vous a fourvoyés,
En latin, en arabe ou en baskets la religion opprime.
Tout homme qui prétend pouvoir interpréter et enseigner
les choses de l'au-delà doit être la risée des dieux. |
Rions un peu...En Février 1899, à Wimereux (Pas de Calais) eurent lieu les premiers essais de liaison radio à travers la Manche. L'inscription sur le gazon réalisée par une entreprise paysagiste locale fut sans doute déterminante pour le plein succès que connut cette tentative. |
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Ce qu'en disent les philosophes
«La notion de "Dieu" a été inventée comme antithèse de la vie -
en elle se résume, en une unité épouvantable, tout ce qui est nuisible,
vénéneux, calomniateur, toute haine de la vie. La notion d' "au-delà",
de "monde-vrai" n'a été inventée que pour déprécier le
seul monde qu'il y ait - pour ne plus conserver à notre réalité terrestre aucun but,
aucune raison, aucune tâche ! La notion d' "âme", d' "esprit" et,
en fin de compte, même d' "âme immortelle", a été
inventée pour mépriser le corps, pour le rendre malade - "sacré" -
pour apporter à toutes les choses qui méritent le sérieux dans la vie - les
questions d'alimentation, de logement, de régime intellectuel, les soins à donner aux
malades, la propreté, le temps qu'il fait - la plus épouvantable insouciance !
Au lieu de la santé le "salut de l'âme" - je veux dire une folie circulaire qui va
des convulsions de la pénitence à l'hystérie de la rédemption !
La notion de "péché" a été inventée en même temps que
l'instrument de torture qui la complète, la notion de "libre arbitre", pour brouiller les instincts, pour faire de la méfiance à l'égard des instincts une seconde nature.»
«Le christianisme a fait de l'immense désir de suicide qui règnait au temps de sa naissance
le levier même de sa puissance. tandis qu'il interdisait de façon terrible toutes autres
formes de suicide, il n'en laissa subsister que deux qu'il revêtit de la suprême dignité
et qu'il enveloppa de suprêmes espoirs ; le martyre et la lente mise à mort par
soi-même de l'ascète.»
«Les chrétiens ont reçu le commandement de s'aimer les uns les autres et de se dire la
vérité les uns aux autres, mais ils se conduisent comme si on leur avait expressément
enjoint de faire le contraire. Non seulement toutes les sectes s'affrontent avec rage les unes aux autres,
mais ceux d'une même secte sont en conflit les uns avec les autres pour les plus insignifiantes
futilités... [...] non contents de cet esprit rancunier, de l'étroitesse et de la
singularité de leurs conceptions et de leurs notions, ils s'accablent allègrement de
péchés et d'infirmités, se condamnent à l'exil et à l'emprisonnement,
et à d'innombrables autres tourments... [...] Arrive alors le moment où la
persécution atteint l'ultime degré de perfection de cette infernale économie de la foi : l'Inquisition.»
«On nous élève dès notre plus tendre enfance dans le mépris de nos sens :
le célibat, état stérile et inutile, et par conséquent bien plus imparfait,
mais qui, au premier aspect, n'offre rien de sensuel, a paru un état plus parfait aux hommes
vulgaires ainsi l'Etre suprême n'a point de femme mais on lui a donné un fils.»
«[...] victimes de l'autorité qu'on a usurpée sur vous, vous êtes adorateurs de ce
qui ne mérite que votre mépris. Il me souvient à ce sujet du souhait d'un homme éclairé qui disait "Je souhaiterais que tous les tyrans fussent pendus et étranglés avec les boyaux des prêtres, ... acolytes du despotisme."(1)
«Intolérance, méchanceté, bêtise, telles sont les trois têtes de la
trinité cléricale. Elles sont du reste inséparables. L'Eglise veut gouverner les hommes.
Sa méthode consiste à leur imposer des dogmes idiots ou des frayeurs puériles, afin de
les avoir à sa merci.[...] Que l'humanité se libère de la crainte d'un au-delà
chimérique ; qu'elle renonce à espérer naïvement les jouissances promises
aux élus de Dieu, dans un Paradis enfantin ; qu'elle cesse également de trembler devant
les menaces (beaucoup plus ridicules que réellement effrayantes) d'un Enfer et d'un purgatoire...
Il sera alors beaucoup moins facile de lui enseigner la résignation et de la soumettre au bon plaisir
des exploiteurs !
«[...] ou bien Dieu peut supprimer le mal, mais il ne le veut pas; dans ce cas, sa puissance reste
entière, mais s'il reste puissant, il devient méchant, féroce, criminel; ou bien
Dieu veut supprimer le mal, mais il ne le peut pas; alors il cesse d'être féroce, criminel, mais
il devient impuissnt.»
«Le Christ fut un imbécile, un naïf chimérique et le séducteur des hommes
simples. Et je soutiens que le Christ a damné le monde entier et n'a sauvé personne.
Car, en effet les hommes s'entretuent à cause de lui et de sa bouffonnerie évangélique.
[...] J'estime que notre foi est une fable, comme le prouvent les bouffonneries de notre Ecriture,
les légendes bibliques et le délire évangélique.»
«Le capital, dont l'analogue, dans l'ordre de la politique, est le gouvernement, a pour synonyme dans l'ordre de la religion, le catholicisme. L'idée économique du capital, l'idée politique du gouvernement ou de l'autorité, l'idée théologique de l'Eglise, sont trois idées identiques et réciproquement convertibles : attaquer l'une c'est attaquer l'autre, ainsi que le savent parfaitement aujourd'hui tous les philosophes. Ce que le capital fait sur le travail, et l'Etat sur la liberté, l'Eglise l'opère à son tour sur l'intelligence. Cette trinité de l'absolutisme est fatale, dans la pratique comme dans la philosophie. Pour opprimer efficacement le peuple, il faut l'enchaîner à la fois dans son corps, dans sa volonté, dans sa raison...»
«Les trois monothéismes, animés par une même pulsion de mort
généalogique, partagent une série de mépris identiques :
haine de la raison et de l'intelligence ; haine de la liberté ; haine de tous les livres au nom
d'un seul ; haine du féminin ; haine des corps, des désirs, des pulsions. En lieu et place
de tout cela, judaïsme, christianisme et islam défendent : la foi et la croyance,
l'obéissance et la soumission, la goût de la mort et la passion de l'au-delà,
l'ange asexué et la chasteté, la virginité et la fidélité monogamique,
l'épouse et la mère, l'âme et l'esprit. Autant dire la vie crucifiée
et le néant célébré...»
«
Combat d’arrière-garde, dira-t-on, que cette charge contre religions et superstitions ! Peut-être pas... Qui oserait dire encore, aujourd’hui, qu’elles sont affaire du passé ? Ne demeurent-elles pas, tout au contraire, la forme la plus récurrente de la bêtise humaine, sa forme la plus permanente ? Tant et si bien qu’il vaut encore la peine, sans doute, de s’y attaquer
[...] l’espèce d’équivalence qu’il y a, du moins quant à la fonction, entre Jésus et Mickey, Lourdes et Disneyland. Dans l’un et l’autre cas, ne s’agit-il pas, après tout, de divertir, d’éloigner de la réalité ?»
[...] de l'invite chrétienne à renoncer à sa vie ici et maintenant et la production du nihilisme, la maladie de la civilisation occidentale et la critique de la morale sexuelle dominante, puis la dénonciation du rôle pervers des religions comme névroses obsessionnelles collectives...
Dieu avait créé le monde en six jours, puis parachevé sa création avec un hommme à son image, avant de prendre un repos bien mérité le septième jour, qui tombait fort opportunément un dimanche. |
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... et aussi un ecclésiastique
«Voilà pareillement la source et l'origine de tous ces prétendus saints, et
sacrés caractères d'ordre, et de puissance ecclésiastique et spirituelle, que
vos prêtres et vos évêques s'attribuent sur vous; qui sous prétexte de vous
conférer les biens spirituels d'une grâce et d'une faveur toute divine, vous ravissent finement
vos biens temporels qui sont incomparablement plus réels, et plus solides, que ceux qu'ils font
semblant de vouloir vous conférer; qui, sous prétexte de vouloir vous conduire au ciel,
et vous y procurer un bonheur éternel, vous empêchent de jouir tranquillement d'aucun bien
véritable sur la terre; et qui enfin, vous réduisent à souffrir dans cette vie seule
que vous avez, les peines réelles d'un véritable enfer, sous prétexte de vouloir
vous garantir et vous préserver dans une autre vie qui n'est point, des peines imaginaires d'un enfer
qui n'est point non plus que cette autre vie éternelle dont ils entretiennent vainement pour vous,
mais non pas inutilement pour eux, vos craintes et vos espérances.»
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Le point de vue des scientifiques
«Until a theist presents some credible evidence for the existence of
his or her particular god, atheism is the rational position of default.
As long as gods stay in the magical realm, the question of their
existence is not scientifically insoluble ; it is a non question.»
«Jusqu'à ce qu'un déiste présente quelque évidence
crédible de l'existence de son dieu particulier, l'athéisme est
la seule position rationnelle par défaut. Aussi longtemps que les dieux
restent dans le royaume du magique, la question de leur existence n'est pas
scientifiquement insoluble ; c'est une non-question.»
Dans les religions et les sectes (une religion étant seulement une secte qui a réussi, réussi une alliance formelle ou tacite avec un ou des gouvernements) les affirmations tiennent lieu d'hypothèses. Elles basent leur enseignement, non sur des théorèmes, mais uniquement sur des postulats, principes premiers indémontrables ou non démontrés. Ceci, bien sûr, afin que nul ne soit en mesure de prouver que leurs propositions puissent, le cas échéant, être fausses.
Jésus n'ayant laissé en quittant ce monde, et jusqu'à preuve du contraire, ni écrits, ni effets personnels, sont existence même reste une simple conjecture.
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La religion inspire aussi les poètesLiturgie avec tes prêtres à cou de girafe, aux yeux concupiscents lorgnant les communiantes enrôlées dans la chapelle gothique du couvent, liturgie revenant chaque année comme un tic-tac, ou une tactique, de litanies et d'amen qui nous ramènent à des giroflées reçues sur les deux joues pour avoir dansé avec le diable qui s'appelait Gisèle, liturgie cruelle des avents où la seule belle aventure était tromperie, liturgie ticket de métro donnant accès au mythe d'un Jésus naissant dans la paille pour finir sur le bois, destin plus commun qu'on ne croit. Liturgie mijotant telle une poule au riz, un paradis là-haut acquis par indulgences bien chères ici-bas. Liturgie des grands de la terre et non pas des privés de gigots. [...] Liturgie théatre d'une religion où l'or à plus de rôle que la bonté. Et les pauvres de l'Europe du marché verront ce que leur coûtera l'Empire. A moins que l'on n'enterre l'idéologie du Libéralisme tout-puissant et son humble servante Liturgie, avec cette épitaphe :
Ci-git un grand qui a perdu la santé -- Thérèse Lauvy, 2005 |
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Quand les femmes se révoltent !J'hésite, je sais pas si j'ose... J'y vais ou j'y vais pas ? J'ai des scrupules. Pas par rapport à l'objet de mon ressentiment, mais vis à vis de celles d'entre vous qui prennent ce malfaisant pour un saint homme, qui croient encore que ce lâche est un juste. J'ai peur de les heurter. Mais il faut que ça sorte. Faut que je me tape le pape ! Je n'en peut plus du Jean-Paul Deux ! Faites-le taire ! Baillonnez-le ! Enfermez-le ! Eburnez-le ! Foutez-le à la retraite ! Renvoyez-le en Pologne ! Cet homme-là est le pire ennemi des femmes ! Ce papi satanique semble n'avoir qu'une idée en tête : nous brimer, nous casser, nous empêcher de vivre ! Ce vieillard haineux, chef d'une secte deux fois millénaire, n'a qu'un souci : contrôler la vie d'autrui. Surtout celle des femmmes. Il a fait voeu de chasteté. Soit. Il a choisi de ne jamais baiser. Alors, comme des dizaines de papes l'ont imposé avant lui, il décrète que les autres baiseront pas non plus, na. Que deux êtres humains profitent de ces joyeux organes dont le bon Dieu les a agrémentés pour se faire jouir, ça défrise les vieux poils qu'il recroqueville sous la soie de sa soutane, ça lui fait mal aux saints, ça lui ulcère les breloques, ça lui escagasse le pacemaker ! Il faut des années, des dizaines d'années pour escalader jusqu'au sommet la pyramide vaticane, qui, est-il besoin de le préciser, est masculine à cent pour cent. Un pape doit en présenter deux, et bene pendentes, j'invente rien. Plus tu grimpais la hiérarchie à défaut d'autre chose, moins les femmes restées au niveau du sol t'apparaissaient comme des être humains. Tu n'y vois qu'un troupeau de brebis que tu mènes au cimetière via la messe, la contrition et la culpabilité. Les clameurs du monde n'arrivent pas à tes oreilles endurcies par le dogmatisme. Tu restes assis sur tes convictions d'un autre âge comme un incontinent sur son pot. Les ovaires sont sous contrôle de grenouilles de bénitier qui ont juré depuis des décennies de ne pas approcher une femme. Et toi, le crapaud-chef, tu t'arroges le droit de décider à leur place ce qu'elles font de leur corps, corps oublié, insulté, escroqué. -- Isabelle Alonso, Et encore je m'retiens ! , Ed. Robert Laffont, Paris 1995, ISBN 2-221-08073-4 |
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On vit mieux sans religion
Moins de religion, plus de bonheur. Isolée au beau milieu de l'Atlantique, confrontée à des hivers interminables, l'Islande est, selon l'ONU, le pays où l'on vit le mieux sur la terre. [...] -- John Carlin, The Observer, Londres, repris dans Courrier Internationa de N°919 du 12 au 18 Juin 2008 |
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Un peu d'humour
C'est les grenouilles (de bénitier) (1) qui vont être contentes...
Faisant suite à l'installation dans les lieux publics de parcmètres et
de distributeurs de préservatifs et afin de respecter la parité
profane-sacré, le Pape vient de publier une bulle et de passer un savon aux
chefs de gouvernements européens. Tssst... Qui a osé dire "bulle de
savon" parmi l'assistance ? Il insiste pour que soient installés
conjointement, des distributeurs d'eau bénite. Cette géniale et méconnue
invention d'Alphonse Allais trouverait enfin un débouché commercial et
simplifierait considérablement la collecte du denier occulte (...au
culte ? ...du culte ? Comment dit-on exactement ?).
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Pourquoi représente-t-on les saints avec une auréole ?
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Extrait du dictionnaire des prénoms : |
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Cuisine céleste |
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Là où la charité est nécessaire, c'est que la justice fait défautLa charité est une soupape de sureté pour la conscience des nantis. Cette vertu a sens unique permet aux riches de se déculpabiliser en faisant l'aumône aux pauvres, comme l'ont bien compris nombre de personalités qui ont marqué l'histoire :
«La charité a toujours soulagé la conscience des riches avant de
soulager l'estomac du pauvre.»
«Charité : hypocrisie qui donne six sous d'attention pour recevoir
vingt francs de gratitude.»
«Je me suis demandé souvent quelle pouvait être la différence entre la
charité de tant de chrétiens et la méchanceté des démons.»
«L'abnégation, la charité résultent le plus souvent d'un défaut
de vie personnelle.»
«La feinte charité du riche n'est en lui qu'un luxe de plus ;
il nourrit les pauvres comme on nourrit les chiens et les chevaux.»
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La République ne reconnaît, ne salarie
ni ne subventionne aucun culte.
(Sauf en Alsace et Lorraine. Pour les autres régions on a mis sur pied des formules de financement indirectes) |
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Voulez-vous accroître votre culture ?
Découvrir des citations de la bible désuètes ou sanglantes ?
Vous ne regretterez pas de faire un détour par ce site remarquable
Le curé de campagne Jean Meslier (1664-1729), philosophe posthume dont le Testament fut vulgarisé plus tard par Voltaire, avait les idées assez claires en ce qui concerne les religions.
Le Testament de Meslier
Les crimes de l'église au vingtième siècle
Le livre que nous attendions tous, de notre grand philosophe contemporain Michel Onfray, "le philosophe qui fait aimer la philosophie". C'est 280 pages de concentré, un démontage méthodique et argumenté des religions monothéistes, les rappels de leurs nuisances depuis deux millénaires, leur collusion avec les régimes fascistes. Un texte clair, lisible par tous. Chez votre libraire, 18.50 Euros, un rapport qualité/prix exceptionnel. TRAITE D'ATHEOLOGIE Vous vous délecterez ensuite dans la lecture de ce recueil de citations que l'on peut lire partout et à tout moment, même en vacances. 15 Euros.
TRESOR DES MECHANCETES Sans oublier la monumentale et remarquable anthologie, un pavé de 640 pages. Textes rationalistes et antireligieux, de l'Antiquité à nos jours. Illustration verso de couverture ci-dessous. 23 Euros. LA GLOIRE DES ATHEES
Le Vatican et ses turpitudes, sa lutte incessante contre tout ce qui est humanisme est progrès. Un journaliste d'investigation démonte les mécanismes secrets d'une institution deux fois millénaire. LE SAINT PIEGE, Bruno Fouchereau Les dérives du gouvernement et les atteintes à la laïcité en vue de restaurer la suprématie du religieux. LA REPUBLIQUE DES BIGOTS, Maurice T. Maschino Où vont les américains tués en Irak ? Au paradis des chrétiens ou dans l'enfer des musulmans ? Y a-t-il un paradis pour les femmes, étant donné leur responsabilité dans les tourments dont souffre l'humanité depuis le jardin d'Éden ? GUIDE DU PARADIS, Publicité comparée des Au-delà, Pierre Conesa, « Depuis le catéchisme, j'ai comme l'impression de traîner quelque chose de gluant sous les semelles de mes chaussures. » « On m'a inculqué la religion gratuitement (au sens de nuisance gratuite) mais j'ai à coeur de rembourser ma dette. » « D'une façon générale, les rites m'irritent. » -- rleb Oui, Dieu est vraiment une invention diabolique ! |
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File: religion.html, 2004-02-27 - Robert L.E. Billon - Last update: 2012-04-23 |